Oïdium, rouille, mais surtout depuis quelques années cercosporiose : les betteraves sont potentiellement exposées à des attaques fongiques susceptibles d’amputer très significativement leur rendement si elles ne sont pas (ou mal) contrôlées.
Alliée des interventions phytosanitaires pour la bonne maitrise du risque maladies, la tolérance génétique est bien sûr un incontournable de la sélection variétale. Elle contribue à la :
- Stabilité du résultat, et donc à la sécurisation du revenu
- Souplesse accrue vis-à-vis des dates d’arrachages
- Adaptation aux régions et aux pressions spécifiques qui peuvent y être observées
La cercosporiose fait l’objet d’une attention toute particulière des sélectionneurs du groupe Deleplanque. Leur objectif est d’associer productivité et tolérance à la cercosporiose aux meilleurs niveaux. Twain est un excellent exemple des résultats obtenus : tolérante nématodes, Twain offre une combinaison rendement-tolérance maladies tout à fait remarquable.
Notons que la tolérance à la cercosporiose des variétés Deleplanque est induite par plusieurs gènes, un élément favorable à sa durabilité (le risque d’apparition de résistances ou de contournements est éloigné).
Associer tolérance jaunisse et tolérance cercosporiose a tout d’une combinaison vertueuse. En effet, tolérante à la jaunisse, la betterave VitalY ne s’est pas « épuisée » pour lutter cotre la charge virale transmise par les pucerons. Elle se trouve ainsi plus forte pour faire face à la cercosporiose. Issue de l’expertise VitalY, ST Olympe reprend ainsi cette association tolérance jaunisse + tolérance cercosporiose. Une combinaison gagnante qui justifie que l’on y regarde de près !
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